Je dispose de rubans, tissus, boîtes à bague.s pour compléter vos accessoires. C’est une raison de plus pour moi d’avoir à connaître les objets et les couleurs que vous voudrez voir photographiés : je peux aller acheter par avance des tissus qui s’harmoniseront avec vos objets.
Et pour les photographes, des conseils pour composer les flatlays ?
Même si la composition d’un flatlay ressemble à celle d’une nature morte, il faut toujours se demander quelle est notre intention narrative : que veux-je raconter à travers cette image ? La réponse apportée à cette question va nous diriger vers un thème – les accessoires de la mariée, les accessoires du marié, les accessoires du couple, la papeterie et les accessoires de correspondance postale, la partie culinaire… –, et une vague idée du style de composition – très droit, plus dynamique, mouvement circulaire, mouvement transversal…
La clef pour commencer est de se demander ce que l’on veut montrer de plus important dans l’image : la papeterie ? les chaussures ? les alliances ? Il faut placer l’objet essentiel au centre, puis composer à partir de là. S’il y a un mouvement que l’on veut créer – avec un tissu, par exemple –, on songera à l’esquisser dès le début de la composition, pour ne pas avoir à tout réordonner ensuite. Les objets secondaires sont ensuite placés sur les autres points forts de l’image. Enfin, les éléments les moins importants viennent combler les espaces vides. Et comme pour toute photo, on veillera à la proximité des couleurs, qui peuvent ou non être complémentaires.
Je conseille de faire plusieurs essais de prise de vue, au fur et à mesure, afin de repérer les espaces inoccupés et les ombres trop présentes, et bien sûr de voir si le mouvement ou la rigueur symétrique sont respectés.